La fibrillation auriculaire se manifeste par une contraction anarchique et inefficace de l’oreillette, ce qui favorise la formation de caillots sanguins. Elle a pour conséquence d’accélérer le cœur, et de le faire battre irrégulièrement.
La fibrillation auriculaire peut être paroxystique (épisodes durant habituellement moins de 48 heures et cessant spontanément), persistante (épisodes de plus de 7 jours ou nécessitant un traitement pour arrêter l’arythmie) ou permanente (épisodes de plus d’un an). Son apparition est favorisée par des troubles cardiaques préexistants (infarctus, myocardiopathie, atteintes valvulaires...), des affections hormonales (thyroïde), l’obésité et le diabète.